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Photographie | Peinture | Babel | Géants | Mythes | La Tour de Babel - Pieter Bruegel (1525?-1569) | Langues | Déluge | Goliath (personnage biblique) | Ath (Belgique) | Mars | Talismans | Ethnologie -- Roumanie | Rouge | Blanc | Chargeurs-transporteurs-déchargeurs | Printemps | laine | Manuscrits à enluminures | Féminisme et littérature | ...
Le mythe indien du corbeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a92ae-le-mythe-indien-du-corbeau

Le mythe indien du corbeau

Le mythe indien du corbeau par Bill Reid, mythe haïda : le corbeau ouvre une coquille d'huitre et relâche les humains enfermés. Musée d'anthropologie de l'Université de Colombie Britannique. Bill Ronald Reid (1920-1998) fut un sculpteur canadien.

Canotier en paille avec ruban. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8de8-canotier-en-paille-avec-ruban

Canotier en paille avec ruban

À Paris, les canots à voile font leur apparition sur la Seine dès le début du XIXe. La préfecture de Police en autorise la circulation sous certaines conditions en 1840. De nombreux individus se mettent à ramer (des « canotiers »), ils conduisent eux-mêmes leur embarcation. Le canot devient un divertissement. Ramer est un plaisir, tout comme s’encanailler dans les différentes guinguettes et autres lieux de plaisance de cette époque. Le canotage suscite de nombreuses réactions. Par des chansons, et évidemment en peinture. Les premiers canotiers parisiens de la fin du XIXe et du début du XXe siècle ne veulent pas rester en bourgeois pour conduire leur bateau et adoptent un costume qui s’inspire volontiers de ceux des matelots ou des mariniers, notamment à travers le chapeau rond orné d’un ruban qui faisait alors partie de la tenue de sortie réglementaire des hommes d’équipage. Dans la Marine, deux versions du chapeau rond coexistaient : une version en paille naturelle pour le service dans les pays chauds et une version imperméabilisée avec du goudron ou de la toile cirée noire pour le service dans les pays pluvieux. Le canotier est le chapeau emblématique de Gabrielle Chanel. Elle le porta très tôt en réaction aux couvre-chefs si garnis des femmes à son époque. Il devient particulièrement célèbre au XXe siècle quand les vedettes de music-hall comme Maurice Chevalier ou Fred Astaire s’en emparent. Maurice Chevalier s'illustra, en 1962, dans une chanson : le Twist du canotier, enregistrée avec le groupe rock français les Chaussettes noires.

La Cité des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/513fda93-la-cite-des-dames

La Cité des dames

La Cité des dames est un récit allégorique de Christine de Pizan (1363-1431) paru à Paris en 1405. Christine de Pizan est une philosophe et poétesse française de naissance italienne considérée comme la première femme de lettres française ayant vécu de sa plume. Son érudition la distingue des écrivains de son époque, hommes ou femmes. Veuve et démunie, elle dut gagner sa vie en écrivant. Elle composa des traités de politique et de philosophie, et des recueils de poésie. On lui doit, entre autres, "Cent ballades d'amant et de dame" et "la Cité des dames". Son travail majeur a été accompli entre 1400 et 1418. Christine est d'abord une poétesse. Et pour cause : c'est le premier moyen de se faire remarquer en bien par les princes mécènes, car leur cour se plaît particulièrement aux jeux poétiques de la littérature courtoise. Elle chante des amours plutôt malheureux en fin d'histoire, mais n'en abuse pas car elle sait que ses lecteurs préfèrent le chant amoureux comblé. C'est par la poésie qu'elle a fondé son autorité d'écrivaine, la manière la plus efficace de se faire admettre dans le monde littéraire pour une femme de la haute société. "La cité des dames" est un des premiers ouvrages féministes de la littérature, en ce sens qu'il ne reprend pas les tropes usés du débat rhétorique utilisés par les auteurs masculins pour attaquer ou défendre la femme, mais se place délibérément dans une perspective nouvelle, la narratrice prenant conscience de ce que sa vision d'elle-même est en fait déterminée par les clichés qui circulent sur les femmes et leur infériorité "naturelle". Christine de Pizan décrit une société allégorique, où la dame est une femme dont la noblesse est celle de l'esprit plutôt que de la naissance. L'ouvrage cite une série de figures féminines du passé que Christine de Pizan donne comme exemple de la façon dont les femmes peuvent mener une existence pleine de noblesse tout en apportant leur contribution à la société. Le Maître de la Cité des dames est un nom de convention désignant un enlumineur actif à Paris entre 1400 et 1415. Collaborateur de Christine de Pisan dans la réalisation de ses manuscrits, il doit son nom de convention des manuscrits de La Cité des dames qu'il a enluminés.

La Tour de Babel. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a6c3bc-la-tour-de-babel

La Tour de Babel

Construction de la Tour de Babel, 1568, par Pieter Brueghel l'ancien (1526/1530–1569). La tour de Babel est une tour mythique évoquée dans la Genèse. Après le Déluge, les premiers hommes entreprennent sa construction pour atteindre le ciel, mais Dieu interrompt leur projet qu'il juge trop ambitieux, en brouillant leur langage et en les dispersant sur la Terre.

Les Porteurs de Goliath. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc294b-les-porteurs-de-goliath

Les Porteurs de Goliath

Les porteurs de Goliath à Ath en 2006 : les porteurs sont l'âme des géants. Ce sont eux qui les font danser aux sons des fanfares qui les accompagnent. Les premiers porteurs de géants étaient probablement des ouvriers du moulin des Estaques, habitués à coltiner de lourds sacs de blé. Jadis, le statut de porteur de géant était réservé à des familles traditionnelles, encore très présentes de nos jours. Mais l'évolution du cortège dans la deuxième moitié du XXe siècle a bouleversé cette donnée. De trois porteurs par géant avant 1934, on en comptait six à la fin des années 1960. Depuis, le mouvement s'est accéléré pour former actuellement des groupes d'environ 10 hommes.

Marteniza en laine. Source : http://data.abuledu.org/URI/551826b8-marteniza-en-laine

Marteniza en laine

Marteniza rouge et blanc en laine. Dans les premiers jours de mars, les Bulgares/Macédoniens et les Roumains/Moldaves s’offrent les uns les autres des martenitsi/mărțișoare (le plus souvent, ce sont les hommes qui en offrent aux femmes) formées d’un fil rouge et d’un fil blanc parfois tressés ensemble. Les deux couleurs peuvent avoir plusieurs symboliques : la santé et la force du sang, le blanc d'une longue vie ; la chaleur du soleil printanier et la neige hivernale qui fond ; la lumière et l’eau, deux éléments essentiels à la vie ; l'amour (ou l'amitié) et la pureté (ou la droiture, ou le respect) ; la vie et la paix… Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%AAte_du_1er_mars_en_Europe_du_Sud-Est